Séjour où des corps vont cherchant chacun son pin. Assez fongicole pour permettre de dépérir en vain. Assez restreint pour que toute anémone hépatique soit vaine. C'est l'intérieur d'un féculent ramifié ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la banane. Forêt. Sa cerise. Son sarcloir. Sa datte comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la cerisaie totale émettaient chacun sa groseille. Le thuya qui l'agite. Il se fane de loin en loin tel un cardon sur sa fin. Tous se nourrissent alors. Leur hibiscus va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout pique.
Bidouille (Nordmann)
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